Entropie :

L'énergie d'un système dépend de trois choses, des niveaux énergétiques, du nombre de particules et de la façon de mettre les particules dans les niveaux. D'ou l'utilisation du volume,du nombre de particules et de l'entropie. Ensuite on a la température, la pression et le potentiel chimique grâce aux dérivées partielles de l'énergie par rapport à l'entropie, au volume et au nombre de particules. Tout ceci est très mathématique. L'entropie n'a pas d'existence physique. Il n'y a pas d'entropimètre ,ce qui est vraiment dommage. Nous avons l'entropie qui est donnée par la division de la chaleur par la température. Elle représente le nombre moyen de quanta pris par le système, sans s'occuper de leur répartition. L'entropie qui est liée aux probabilités donne la répartition la plus probable. Dans tout les cas cette répartition doit se faire de façon à avoir un minimum d'énergie, qui correspond à un maximum d'entropie. Il s'agit toujours finalement d'énergie électrique attractive, et on a des systèmes quantifiés et organisés (pas du désordre). Il est vrai que l'on peut étendre ces calculs à la gravitation. Mais les quanta de gravitation sont très petits, les possibilités immenses et la signification physique douteuse. Ces calculs sont rendus nécessaires parce que l'observateur est incapable de connaître l'état du système et son devenir à cause de sa compléxité. Par suite cette notion d'entropie est liée aux connaissances de  l'observateur, car le calcul de probabilité va surtout dépendre des connaissances de l'observateur. L'entropie n'agit pas sur le système, elle permet seulement avec un peu de chance de prévoir son destin.On pourrait  remplacer la loi du minimum de l'entropie en disant que ce sont les attractions qui finissent toujours par l'emporter.

Photon :

Comme les autres particules le photon existe lors d'événements, qui sont les rencontres avec des entités trois et des gravitons. Il est formé de deux entités stables à des vitesses différentes. L'une de fréquence propre N1 est donc stable à la vitesse V1 et l'autre de fréquence N2 à la vitesse V2. C'est pour cela qu'il a la vitesse c, afin de ne plus être sensible à l'environnement. Les rencontres efficaces ont alors la fréquence N1- N2. L'onde qui va accompagner le photon se fait dans le milieu des entités trois (le graviton est trop petit). Le calcul montre que cette onde comporte une onde progressive pratiquement plane dont le front se situe dans le plan du photon et le reste un peu derrière, et d'un système stationnaire derrière le photon. La première intervient dans le cas des fentes d'Young et de la diffraction. Le système expérimental retarde légérement le photon par rapport à l'onde. On a peu de franges dans ce cas. Le photon va exister là où les entités trois vont se trouver. Le système stationnaire intervient dans des cas comme les lames, les coins, les anneaux de Newton ou les franges de Wiener (bien difficile à comprendre autrement).
Le rayon du photon est pratiquement le même que celui des autres particules, comme le montre l'étude de sa déviation par le soleil.
Le photon étant sensible au passage des gravitons on peut dire qu'il a une masse. Mais il faut revoir sérieusement ce concept.
Les propriétés liées à la polarisation appartiennent au photon pas à l'onde dans le vide. Elles sont dues à l'utilisation de la géométrie cylindrique. Mais dans un milieu cristallin le photon provoque une onde électromagnétique classique et il doit l'accompagner, car dans ce cas il est stable, étant insensible à l'environnement électrique du milieu.

Genese :


Actuellement on raconte un peu n'importe quoi sur l'univers. Les astronomes sont coincés par une équation relativiste liée à la courbure de l'espace et qui ne signifie pas grand chose. Mais pour l'instant la Relativité, même mal utilisée, est sacrée, quitte à bricoler l'équation en question. Il me semble qu'il est temps de blasphémer.
Nous allons essayer autre chose.

La première constatation est qu'il faut s'occuper de la composition du vide. Pour expliquer les propriétés des particules nous avons dû introduire quatre entités dans le vide. Le graviton, une entité deux qui correspond aux particules, une entité trois qui est liée aux propriétés électriques des particules et une entité quatre liée à l'interaction faible , qui semble liée aux neutrinos .

Pour comprendre la genèse de l'univers il faut comprendre la genèse de ces entités.
Nous allons essayer.

Au départ on suppose que le vide est continu , uniforme,homogène et isotrope. Par suite pour toute propriété U on aura :

Grad2 U = 0.
On trouve bien U=constante , mais il y a d'autres solutions , le vide est instable.
Si un événement fortuit de durée T= 8,35 . 10 -43 s se produit, il va engendrer une réaction classique tendant à conserver U. D'où une équation de conservation de la forme équation d'Hamilton-Jacobi
 
 
 
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Cette équation doit se résoudre en coordonnées sphériques. Mais la résolution de cette équation conduit à un phénomène qui se développe au lieu de disparaître.
 
 
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Dans cette formule B est un nombre quantique et 2 Π x=VT


Il se forme une bulle,plutôt un grain qui grossit par couches successives, et des nombres quantiques apparaissent qui découpent la bulle. Les gravitons se forment. A partir de là nous allons utiliser les formules de la physique statistique. En effet l'avantage de la physique que nous utilisons est qu'elle est mathématique, donc utilisable en toute circonstance. L'ennui c'est quelle utilise des concepts mathématiques abstraits peu compréhensibles.
Nous avons deux constantes dont nous connaissons la signification. La première est la constante de Planck, qui traduit la rencontre du graviton avec d'autres choses. La deuxième est la constante G de la gravitation, qui traduit le mouvement pris par les choses lors de ces rencontres. G est variable comme le montre la formule donnée dans le site.
On trouve x2 V3 = hG et 8 x3 A = h V pour un graviton . A est une « tension superficielle » qui vaudra 4 . 10 77 N/m , x = 4 . 10 –35 m , V = 3 . 10 8 m/s
et G = 6,6 . 10 –11 SI

Pour un ensemble de gravitons on aura :

R2V3 =n h G et 8 Π R3 A =nhV

Le volume de rayon R contient n gravitons.

La valeur de A , associée à h , détermine le reste .

L' « énergie » est hV/R

G est égal à 4 . 10 –51 SI au moment de l'éclatement.

La bulle éclate pour un rayon d'environ 10 5 m et contient sensiblement 10120 gravitons.

Actuellement à raison d'environ un graviton dans un volume de rayon 10 –15 m la bulle occupe un volume d'environ 10 26 m. Mais il peut y avoir eu plusieurs bulles.Le vide étant déstabilisé, les bulles suivantes vont arriver dans un vide occupé par les gravitons. Elles vont donner de petites bulles de rayons 5,6 . 10 –15 m, qui pour des raisons de stabilité contiendront environ 10 40 gravitons ,que certains nomment gluons. On aura des neutrons. On trouve des bulles d'environ 1013 m contenant 10 67 neutrons par bulle (quasars) . La notion d'énergie apparaît, car on a alors interaction entre des particules et des champs, mais pas avant.La loi concernant la conservation de l'énergie est liée à un repère barycentrique pas à un repère absolu . Les entités trois et quatre se forment de la même façon. L'arrivée des entités quatre est importante. Elles désintègrent une partie des neutrons en protons et électrons. Ce qui a pour conséquences que le nombre de protons est égal à celui des électrons, que l'on a une explosion, qui va donner de l'hydrogène, de l'hélium, un trou noir au centre et un dégagement d'énergie qui correspond au 3°K. On n'a pas un big bang mais une multitude de petits bangs .
Les entités 2,3 et4 ressemblent beaucoup aux neutrinos .                                                                      On a une certaine confirmation de ce système par le calcul des fluctuations du 2,7K . les fluctuations quantifiées sont les énergies dégagées par la formation des atomes d'hydrogène à partir du refroidissement du mélange proton-électron provenant de la désintegration des neutrons , et  le maximum de 80 millionième de K est lié à la formation de l'hélium.

Il y a encore à résoudre le problème de la rotation des galaxies. L'explication la plus simple est une rencontre entre deux nuages d'hydrogène. La forme de cette rencontre peut d'ailleurs expliquer certaines propriétés qui varient d'une galaxie à une autre. Chocs difficiles dans le cas du big bang, où les galaxies ont tendance à s'écarter.
  D'autre part il est possible et mème vraisemblable d'avoir la propagation d'une onde dans le vrai vide .Un calcul incertain donne une vitesse de l'ordre de img 34 m/s . La vitesse de la lumière est limitée dans le milieu des gravitons et des entités trois , comme la vitesse du son est limitée dans un gaz . Mais cela n'empèche pas la lumière de traverser le gaz plus vite en utilisant un autre support .


Il est possible que cette histoire soit complètement farfelue. Mais elle est beaucoup plus plausible que le big bang et les quarks.

Il reste à savoir comment s'est produit ce petit événement vraiment incongru, et quelle est la nature du vide , donc celle des gravitons , qui nous traversent sans arrêt et sans lesquels nous n'existerions pas
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