Gravitation :
La masse est donc liée et définie par un événement, qui est la rencontre de la particule avec un graviton. Il reste à savoir pourquoi la particule se met en mouvement lors de cette rencontre. La notion de force n'est qu'un alibi mathématique et n'explique rien. L'explication physique serait la suivante. Lors de cette rencontre la période propre de la particule est modifiée. Or les gravitons passent toujours à travers la particule de la même façon, c'est à dire à la même vitesse. Par suite il est nécessaire de modifier la durée de ce passage par la mise en mouvement. Ce qui permet d'ailleurs de retrouver les formules relativistes et d'expliquer le succès très relatif de la Relativité Générale.
Loi de Newton :
Dans la particule il y a 2B + 1 états, donc 2B + 1 gravitons qui passent ensemble dans un temps

R est le rayon de la surface de captation.
Chaque graviton communique, par modification de la période propre, à la particule la quantité de mouvement ΔP telle que :
avec
D'où finalement :
Si on a
Par suite
Si 2π R = cT et T = 11,8.10-23s on a Δ T = 2,.10-62 s
Remarquons que la loi de Newton classique n’est valable que jusqu’à une certaine distance et avec des masses assez importantes. Elle est valable tant qu’une particule reçoit plusieurs gravitons de la part des masses perturbatrices. Mais elle change quand un graviton met plusieurs particules en mouvement. De plus la quantification modifie un peu cette loi. En première approximation pour une masse ponctuelle on aurait :
A est l’accélération, a est l’accélération prise par une particule qui reçoit un graviton et a=HC où H est la constante de Hubble et C la vitesse de la lumière dans le vide. Pour une galaxie classique la distance critique se situe aux environs de 10.000 al.
2.2. Constante de Hubble
Le photon est une particule instable dans l’univers. Supposons qu’à chaque interaction avec un graviton il perd l’énergie ΔW = hΔT/T2. Si l’énergie du photon est W la durée de la rencontre est T’ avec W=h/T’.
Par suite pendant un temps t la perte totale d’énergie seraΔ W° = ΔW.t/T’.
avec Δλ représentant la variation de la longueur d’onde λ du photon pendant le temps t, qui représente la vie du photon dans l’univers. Généralement ce temps est relié à la distance parcourue par le photon par la relation x = ct. On a donc Δλ/λ = ΔTx/T2c. Dans le cas où on attribue la variation Δλ à l’effet Doppler on a la relation :
et
posons 1/H=H'
Dans cette formule v est la vitesse de la source dans la direction de l’observateur et H est la constante de Hubble. On trouve H =7 .1017 s. Cette valeur est en bon accord avec l’expérience, mais elle n'est plus liée à l'age de l'Univers. De plus ce
résultat remet en cause la théorie de l’expansion de l’univers et par suite celle du « big-bang ».
De plus la loi reliant le red shift à la distance est un peu plus compliquée . Une première approximation est utilisée dans loi de Newton et matière noire.
On montre aussi que le passage du graviton à travers la particule se fait à l'accélération a=H'c .
H'/c=144 avec des megaparsec et des km/s . Or 144=2x72 et cette valeur dépend de la distance .Le 2 n'est pas un problème.
FORMULES DE LORENTZ
Le principe de base est que le passage d’un graviton ou d’une entité trois change la période propre de la particule . Par suite elle doit se mettre en mouvement pour se trouver dans un repère où le temps de passage de ces entités sera compatible avec sa période propre.Dans le cas de la relativité restreinte il s'agit des entités trois .
T est la période propre au repos et T’ la nouvelle période propre . Pythagore donne :
En sens contraire de la vitesse le temps de passage dans un repère absolu est :
.Ce qui donne les formules de Lorentz ,car on a X°=CT°
et
La particule n’a pas vraiment changer de dimensions . Mais les temps de passage suivant v sont différents . Ils sont d’ailleurs plus longs pour des passages suivant v . La distance parcourue dans la particule est toujours la même , mais pas celle parcourue dans un repère absolu .
A partir de ces formules qui sont valables dans un repère absolu on passe à des vitesses relatives . On constate que l’on a toujours X=CT . Mais les vitesses relatives doivent se calculer à partir des vitesses absolues , qui malheureusement ne nous sont pas accessibles expérimentalement dans le cas de la translation . Bien qu’elles le soient dans le cas de la rotation.
Une particule en mouvement est une particule modifiée . C'est d'ailleurs la cause du mouvement . Elle a alors la symètrie cylindrique.
Remarques
La mécanique classique utilise un repère barycentrique et les Relativités un repère absolu . Les lois y sont différentes. D'où en particulier le faux problème des jumeaux. De plus c'est la similitude des formules dans les deux repères qui empéche de déterminer les vitesses absolues . Pour la rotation il faut passer par la Relativité Générale.
On a bien une quantification de la gravitation.